communiqué
Claude Monet, Femme au jardin (détail), 1866, huile sur toile, 82,3 x 101,5 cm, musée de l’Ermitage, St
Petersbourg © photographie : musée de l’Ermitage / Vladimir Terebenin, Leonard Kheifets, Yuri Molodkovets
Claude Monet
(1840 – 1926)
22 septembre 2010 – 24 janvier 2011
Galeries nationales,
Grand Palais entrée Champs-Elysées
www.monet2010.com
#expomonet
Cette exposition est organisée par
la Réunion des musées nationaux
et le musée d’Orsay, Paris.
Elle est placée sous le haut patronage
de Monsieur Nicolas Sarkozy, Président
de la République française.
Cette exposition est réalisée
grâce au mécénat exclusif de Natixis.
servent à partir de la fin des années 1890 une vision plus méditative où les objets perdent
leur matérialité au profit de jeux de couleurs et de lumière.
En 1890, alors âgé de 50 ans, Monet crée son jardin dans sa propriété de Giverny et s’inspire
des paysages alentours, limitant désormais ses campagnes de peinture en France et à l’étranger.
Il travaille de manière systématique à des tableaux d’après un même motif, conçus comme des
ensembles manifestant l’évolution du motif selon les changements d’éclairage au fil des heures
et des saisons.
Si les notions de constance, de répétition accompagnent la carrière de Monet et apparaissent
avec force, l’exposition permet d’étudier d’une façon nouvelle comment la réflexion de
l’artiste a opéré selon d’autres orientations : faisant appel à la mémoire, au rêve, à la
nostalgie, le peintre a recours à diverses reprises au processus du retour en arrière.
Le cycle des Grandes Décorations de Nymphéas consacre Monet décorateur. Il marque
l’aboutissement de recherches entamées plus tôt dans la carrière de l’artiste. Il exécute aussi
des décors pour des amateurs, tel le collectionneur Ernest Hoschedé ou son marchand Paul
Durand-Ruel. A partir des années 1890, à l’heure où la qualité décorative de la peinture
apparaît comme une promesse de renouveau, Monet invente une voie personnelle, conciliant un
attachement profond à la nature et la suggestion d’un univers poétique autonome. Ainsi, avec
Monet, « le rêve devient la réalité », selon la belle formule de l’écrivain et ami du peintre,
Octave Mirbeau.
A travers près de deux cents oeuvres, cette rétrospective veut susciter la surprise, la
réflexion et la délectation du visiteur grâce à des oeuvres célèbres et des tableaux méconnus,
mais aussi grâce à des rapprochements inhabituels et des regroupements d’oeuvres inédits.
L’exposition veut également renouveler l’approche d’un grand artiste avec lequel s’accomplit le
passage du XIXe au XXe siècle.

Exposition Claude Monet (1840 – 1926) – 22 septembre 2010 – 24 janvier 2011 – Galeries nationales, Grand Palais entrée Champs-Elysées.
Cette exposition est organisée parla Réunion des musées nationaux et le musée d’Orsay, Paris.
En 1890, alors âgé de 50 ans, Monet crée son jardin dans sa propriété de Giverny et s’inspire des paysages alentours, limitant désormais ses campagnes de peinture en France et à l’étranger.
Il travaille de manière systématique à des tableaux d’après un même motif, conçus comme des ensembles manifestant l’évolution du motif selon les changements d’éclairage au fil des heures et des saisons.
Si les notions de constance, de répétition accompagnent la carrière de Monet et apparaissent avec force, l’exposition permet d’étudier d’une façon nouvelle comment la réflexion de l’artiste a opéré selon d’autres orientations : faisant appel à la mémoire, au rêve, à la
nostalgie, le peintre a recours à diverses reprises au processus du retour en arrière.
Le cycle des Grandes Décorations de Nymphéas consacre Monet décorateur. Il marque l’aboutissement de recherches entamées plus tôt dans la carrière de l’artiste. Il exécute aussi des décors pour des amateurs, tel le collectionneur Ernest Hoschedé ou son marchand Paul Durand-Ruel. A partir des années 1890, à l’heure où la qualité décorative de la peinture apparaît comme une promesse de renouveau, Monet invente une voie personnelle, conciliant un attachement profond à la nature et la suggestion d’un univers poétique autonome.
Ainsi, avec Monet, « le rêve devient la réalité », selon la belle formule de l’écrivain et ami du peintre, Octave Mirbeau.
A travers près de deux cents oeuvres, cette rétrospective veut susciter la surprise, la réflexion et la délectation du visiteur grâce à des oeuvres célèbres et des tableaux méconnus, mais aussi grâce à des rapprochements inhabituels et des regroupements d’oeuvres inédits.
L’exposition veut également renouveler l’approche d’un grand artiste avec lequel s’accomplit le passage du XIXe au XXe siècle.
Source article www.monet2010.com : Plus d’informations sur www.monet2010.com
Si le chiffre est atteint, Monet détiendra le record à Paris de l’expo la plus visitée, après celle de Toutankhamon en 1967, qui avait attiré 1,2 million de personnes.
«Claude Monet est le peintre le plus connu et le plus aimé des Français. Il y a eu un remarquable bouches-à-oreilles», a souligné Jean-Paul Cluzel, président du Grand Palais. Monet dépasse ainsi l’exposition «Picasso et ses maîtres», qui s’était achevée en 2009 avec 783 000 visiteurs.